Auteur: Micheal Grant
Édition: PKJ Genre: Fiction Synopsis: En un instant, tout le monde à Perdido Beach, une petite ville de Californie, a disparu, sauf les enfants de moins de quinze ans. Ils se retrouvent seuls dans la ville, rebaptisée la Zone, où la famine menace. De plus la Zone est menacée par l'Ombre, une créature des collines. Mon avis: Je trouve que cette série est excellente une fois un tome ouvert. Bizarrement, entre les tomes, l'envie d'en ouvrir un est faible. Du moins, c'est ce que je ressentais lorsqu'est venu le temps d'ouvrir ce 2e tome, en lecture commune avec Readeuse. Cet opus commence en force avec un événement marquant. Puis, vient le problème indiqué dans le titre. La nourriture commence à manquer. Hé oui, car ces jeunes n'ont pas été suffisamment brillants avec la nourriture. Cependant, c'est pardonnable pour des enfants de 15 ans et moins. Ce qui est sûr, c'est que je n'enviais pas leur situation! Ce que certains ont ingurgités pour assouvir leur faim m'a fait compren- dre que je suis chanceuse de manger à ma faim chaque jour. Certains ont même mangé des choses que je n'aurais jamais pensé manger (du ketchup pour dîner, miam!) Comme si la famine n'était pas un assez gros problème, voilà qu'une guerre éclate entre les dégénérés ( ceux qui possèdent des pouvoirs) et les normaux (ceux qui n'en possèdent pas). Des promesses sont données, et des actions sont faites, montant énormément mon niveau de stress. De nouveaux personnages s'ajoutent dans ce deuxième opus et cela m'a pris quelques temps à m'habi- tuer à eux. Je n'ai pas pu m'empêcher de comparer cette série à Games of Thrones. Je m'explique: Je n'ai jamais écouter cette série mais si j'ai appris quelque chose, c'est qu'il ne faut pas s'attacher aux personnages. Gone, c'est la même chose et c'est très difficile de ne pas s'attacher. En fermant ce deuxième tome, je me suis retenu de ne pas ouvrir le 3e. Je devrai patienté jusqu'au mois de novembre pour connaître la suite. Petite anecdote: Je me rappelle qu'un soir, je lisais et dans l'appartement, il n'y avait pas un bruit. J'étais plongé dans l'histoire et lorsqu'un événement est arrivé, ça m'a tellement surpris que j'ai poussé un cri. C'était comme si je regardais la scène à la télévision. Chronique de Readeuse: ICI
0 Commentaires
Laisser un réponse. |
|