Auteure: Alexandra Larochelle
Édition: La Bagnole Genre: Contemporain Synopsis: Maélia aime son amoureux à la folie. C'est le premier, la bonne personne, l'homme de sa vie. Mais lorsqu'elle quitte sa région éloignée pour le cégep, elle découvre le monde sous des angles imprévus. Et si Oli ne voulait pas vraiment son bonheur ? Maélia comprend surtout que sa vie peut prendre de l'expansion. Jusqu'à ce que ça fasse bang. Une incursion dans l'univers des relations toxiques, qui dévoile l'ampleur du piège mais aussi les voies possibles de la liberté. Mon avis: Cette auteure, je l'adore. C'est probablement pourquoi ce livre fut mon achat du 12 août 2023. J'avais entendu de bons commentaires sur ce livre et j,avais hâte de le commencer. Elle m'a conquise avec sa trilogie "des papillons pis..." dont vous pouvez trouver ma chronique du premier tome ICI. On rencontre Maélia Turcotte, une jeune femme de 17 ans qui est en couple avec Olivier. Un couple qui semble parfait. J'y ai vraiment cru. Ok, je peux être naïve et je savais que le livre traitait de relation toxique mais, pendant un temps, j'ai vraiment cru que le synopsis s'est trompé. Le couple était trop parfait. Limite, je comparais mon couple au leur. Le style d'écriture d'Alexandra Larochelle m'a toujours fait sourire. Son humour, ses comparaisons loufoques, les péripéties qu'elle vit. Bref, je lisais avec le sourire aux lèvres. Puis, d'un coup, le sourire est parti. Parce que la toxicité arrive par petits coups. Je ne parle pas de violence physique, mais bien psychologique. Pis c'est subtil. Très subtil. À chaque réaction que je trouvais ordinaire, je me demandais: "Qu'aurais fait mon chum?" et j'étais soulagée de la réponse. J'ai beaucoup aimé que l'auteure aborde une autre sorte de violence. On parle beaucoup de celle physique et elle y est abordé également mais on parle rarement des autres formes (psychologique, financière, etc.) J'ai été laissé sur ma faim. C'est ce qui m'a fait me rendre compte que j'avais adoré ce roman. Plus je voyais la fin arriver, plus je me disais: "il manque des pages à ce livre, c'est sûr. Ça ne peut pas être fini dans 6 pages!" et quand j'ai réellement eu terminé, j'avais envie de crier de frustration. "De quoi, à suivre??? Comment je suis sensé passer à un autre livre, maintenant?!"
0 Commentaires
Laisser un réponse. |
|